Une île plus loin

Une île, plus loin…

 

Une île, plus loin développe son savoir-faire sur deux méthodes distinctes, efficaces et reconnues. Elles ont chacune fait leur preuve dans leurs domaines de prédilection et peuvent être interactives et complémentaires.

D’une part la sophrologie, et d’autre part la médiation par l’intervention animale (ou zoothérapie)

 

Pourquoi la sophrologie dans le stress ? 

Parce que c’est une discipline dont les techniques abordent toutes les composantes du stress.
Elle intervient sur le physique et sur le mental, au niveau des causes, des signes et sur la conduite à tenir face aux agents stressants.
Sa finalité n’est pas de repousser ses limites face au stress mais plutôt de prendre conscience de ses limites.
Elle permet d’amortir l’impact émotionnel du stress, son efficacité va manifeste au niveau physiologique.

Les bénéfices interviennent au niveau de l’esprit en l’aidant à mieux gérer ses émotions. Ils ont un impact sur le mental en activant la concentration, la lucidité, la confiance et la créativité de l’individu. Sur le corps, l’impact se traduit par un relâchement des tensions et le réveil des sensations de vitalité. Ces exercices procurent un sentiment de sérénité, de bien-être physique et mental et entre autres, permettent de s’éloigner de l’état de stress passager ou chronique.

Par rapport à des techniques plus classiques de détente et de bien-être, à très court et à long terme, elle évite une prise en charge psychothérapeutique. Elle permet également de se projeter dans l’avenir et d’élaborer des projets personnels face aux circonstances stressantes.

Et la médiation animale ? 

L’idée que la présence animale peut améliorer l’état physique et mental d’un humain et aider les thérapeutes et pédagogues dans leur mission est loin d’être nouvelle. Des études et des expériences ont  démontré que les animaux peuvent aider des patients à se rétablir à la suite d’une longue maladie ou à surmonter une dépression. On sait depuis plus de vingt ans que la présence d’un animal de compagnie peut diminuer la tension artérielle mais également l’anxiété. Cet état est favorisé par nos origines au sein de la nature car nous serions restés réceptifs à ses dangers comme à la sérénité qu’elle procure. A fortiori la présence et l’accompagnement d’un animal.

Il y a, surtout chez l’enfant,  et son espace psychique, des zones communes avec celui de l’animal. Ces zones peuvent être l’attachement, le jeu, les liens affectifs et sociaux, l’agressivité, le langage et la relation gestuelle, d’une façon générale la communication.

Notre démarche est donc de créer une relation triangulaire entre un individu (avec une île, plus loin le plus souvent un enfant ou adolescent), un médiateur en thérapie animale (il peut s’agir d’un psychanalyste, d’un psychologue, d’un sophrologue, d’un zoothérapeute, ou tout autre professionnel de la santé et du social), et un animal consciencieusement sélectionné et éduqué.  Ainsi, ce trinôme va œuvrer et évoluer au niveau du psychique, du social, de l’anxiolytique, de l’émotion, de la socialisation de l’individu.

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